Après le NSO Group, il semble qu'un nouvel acteur européen soit actif dans la vente d'espiogiciels (spyware). Google révèle qu'avec les outils de cette entreprise, des téléphones ont été mis sur écoute en Italie et au Kazakhstan.
Des négociations seraient en cours entre l'une des plus grandes firmes de défense américaines et l'entreprise israélienne NSO Group en vue de racheter le logiciel espion controversé Pegasus. Mais cela ne pourra se faire sans l'accord des deux gouvernements.
Apple a annoncé mardi avoir déposé une plainte contre NSO Group, la société israélienne qui fabrique le logiciel d'espionnage Pegasus qui a servi à cibler des utilisateurs d'iPhone, et avoir demandé au tribunal d'interdire définitivement les programmes de NSO sur les appareils et services de la marque à la pomme.
Des militants des droits humains, des journalistes et des opposants du monde entier ont été espionnés grâce à un logiciel mis au point par une société israélienne, selon une enquête publiée dimanche dans plusieurs médias.
NSO Group, qui est accusée par Facebook d'être impliquée dans des attaques via Whatsapp, déclare que c'est Facebook elle-même qui voulait utiliser l'espionniciel (spyware) de l'entreprise dans ses applis.
Aux Etats-Unis, WhatsApp a intenté un procès à la firme de sécurité NSO Group. Celle-ci serait à l'origine d'un piratage ayant provoqué la mise sur écoute de centaines d'appareils via WhatsApp.
WhatsApp a récemment découvert une brèche permettant la mise sur écoute. Le service de messagerie, une composante de Facebook, avait observé début mai qu'il y avait une faille dans le logiciel, permettant d'installer un programme d'espionnage.