Une étude effectuée par l'UGent auprès de 220 organisations de traitement de données personnelles montre que plus de la moitié d'entre elles n'accepte pas les demandes visant à les consulter, alors que c'est obligatoire. Et parmi celles qui acceptent, les fichiers semblent souvent malaisément interprétables ou bien l'identité du demandeur n'est pas contrôlée.