Les entreprises et autorités en Belgique marquent encore trop peu d'intérêt pour la cybersécurité, même si la connaissance du sujet augmente, a souligné mardi, à l'occasion d'un workshop, le Belgian Cybercrime Centre of Excellence for Training, Research and Education (B-CCENTRE).
Voici, selon Kaspersky Lab, les montants qu'un cybercriminel doit en moyenne investir et peut empocher avec des actes de phishing (hameçonnage), ransomware (rançongiciel) et autres chevaux de Troie.
Le coût de la cybercriminalité en Belgique est de 3,5 milliards d'euros par an, soit plus d'un pour cent du produit intérieur brut, a souligné lundi la coalition "Cyber Security", qui rassemble une cinquantaine d'entreprises privées et publiques ainsi que des scientifiques.
Les membres d'Unizo affirment qu'ils accorderont en 2014 une attention toute particulière aux médias sociaux et à la sécurisation contre la cybercriminalité, mais aussi aux tablettes et à l'e-facturation.
La lutte contre la cybercriminalité en Belgique dispose de pas mal de moyens, mais une amélioration est encore possible. Voilà ce qu'on peut lire dans le livre 'Cybercrime'.
Microsoft réunit sur son campus de Redmond des experts en sécurité (techniques et autres) afin d'aider les entreprises et les autorités du monde entier dans leur combat contre le cyber-crime de toute nature.
L'étude 'Cost of cyber crime' réalisée par Ponemon indique une croissance constante du coût des cyber-attaques pour les entreprises ciblées. Cette hausse est de 30 pour cent par rapport à 2012.
S'il est déjà malaisé de combler les points faibles dans la sécurité des anciens ordinateurs, cela l'est d'autant plus sur les appareils mobiles. Beaucoup de personnes ne corrigent jamais leur équipement mobile et dans de nombreux cas, cela n'est même pas possible.
Le Parlement européen a approuvé une directive destinée à condamner plus sévèrement le piratage (hacking). Toute entreprise louant les services de pirates (hackers) est aussi visée par cette directive.