Le Centre pour la Cyber-sécurité Belgique (CCB) ne voit aucune raison de renoncer à l'utilisation des logiciels antivirus de Kaspersky Lab au sein des instances publiques belges. Voilà ce qu'a déclaré le premier ministre Charles Michel à la Chambre.
Notre pays permettra finalement à des hackers de rechercher et de signaler des failles dans la sécurité des entreprises et des pouvoirs publics, à condition bien entendu que ceux-ci en aient d'abord donné la permission explicite.