The New York Times devient un nouveau client de référence d’Appstrakt

© The New York Times
Frederik Tibau est rédacteur chez Data News.

Le journal américain The New York Times fait appel aux services du développeur d’applications anversois Appstrakt afin de créer de nouvelles expériences interactives pour son site Internet. ” La taille réduite de notre entreprise joue en notre faveur “, affirme le CEO, Tom Vroemans.

Il y a un an et demi, Appstrakt ouvrait un bureau à New York pour pouvoir offrir un service optimal à ses deux principaux clients américains : AB Inbev et Spotify, qui ont tous deux leur siège dans la Big Apple.

Aujourd’hui, les Anversois peuvent ajouter The New York Times à leur portefeuille de clients. Appstrakt, en concertation avec le journal le plus connu au monde, va développer de nouvelles expériences interactives pour le site Internet du NYT. Un premier projet serait même déjà finalisé à ce jour. Aucun détail n’a été communiqué pour des raisons contractuelles, mais il s’agirait d’insérer du contenu interactif sur le site du NYT, et ce, de manière à ce que les lecteurs restent interessés.

“Chez nos autres clients également, l’accent est toujours mis sur la création d’expériences en ligne intéressantes et interactives”, explique le CEO d’Appstrakt, Tom Vroemans. “La constante est l’apport d’une plus-value claire pour l’utilisateur final, comme l’app que nous avons élaborée pour VTM. Via cette application, l’utilisateur peut demander une grande quantité de contenu supplémentaire, ce qu’il semble beaucoup apprécier.”

Pourquoi The New York Times et AB Inbev font-ils confiance à un modeste bureau numérique anversois ? “Nous avons entre-temps développé un solide savoir-faire”, déclare Vroemans, “et tous nos produits sont élaborés en concertation permanente avec le client.”

“Il est évident que la taille réduite de notre entreprise, qui nous permet de rester constamment en contact et de maintenir un dialogue continu, constitue davantage un atout qu’un inconvénient. Rien ne vaut les conversations face-to-face avec nos collègues de travail. C’est aussi la raison pour laquelle nous avons ouvert notre département à New York.”

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