Plus de ‘ministre de l’ICT’ à part entière

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Stefan Grommen Stefan Grommen est rédacteur de Data News.

Il n’y aura plus de ministre de l’ICT à part entière dans le nouveau gouvernement fédéral. Contrairement au gouvernement fédéral précédent, où Vincent Van Quickenborne (Open VLD) avait obtenu un poste ministériel très consistant avec l’Economie, les Télécoms, l’ICT et la Simplification Administrative, les compétences liées à l’ICT dans le présent gouvernement sont de nouveau réparties sur plusieurs ministres et secrétaires d’Etat. Johan Vande Lanotte (sp.a), qui devient dans le nouveau gouvernement vice-premier ministre et ministre de l’Economie, des Consommateurs et de la Mer du Nord, assumera dans cette fonction aussi la responsabilité du secteur télécoms et ICT.

Il n’y aura plus de ministre de l’ICT à part entière dans le nouveau gouvernement fédéral.

Contrairement au gouvernement fédéral précédent, où Vincent Van Quickenborne (Open VLD) avait obtenu un poste ministériel très consistant avec l’Economie, les Télécoms, l’ICT et la Simplification Administrative, les compétences liées à l’ICT dans le présent gouvernement sont de nouveau réparties sur plusieurs ministres et secrétaires d’Etat.

Johan Vande Lanotte (sp.a), qui devient dans le nouveau gouvernement vice-premier ministre et ministre de l’Economie, des Consommateurs et de la Mer du Nord, assumera dans cette fonction aussi la responsabilité du secteur télécoms et ICT. Mais alors que dans le précédent gouvernement, les efforts e-gov et d’informatisation du gouvernement (Fedict) faisaient aussi partie de ces compétences, tel ne sera plus le cas cette fois.

Au Fedict, l’on se tourne prudemment vers Olivier Chastel (MR) comme ministre de tutelle, lequel devient ministre du Budget et de la Simplification Administrative, mais un démenti a suivi. Au service presse du sp.a, l’on évoque à présent Hendrik Bogaert (CD&V) qui, en qualité de secrétaire d’Etat pour la Fonction Publique et la Modernisation des Services Publics, assumera la compétence de l’Informatisation.

De cette manière, l’évolution qui avait débuté en 2005, lorsque le secrétaire d’Etat de l’Informatisation de l’époque, Peter Vanvelthoven, avait reçu un poste ministériel, en prend un coup. Les multiples appels en vue d’héberger chez une seule et même personne l’ICT, les Télécoms et l’Informatisation pour assurer une bonne efficience, avaient atteint un point culminant lors de la formation du gouvernement Leterme 1 avec la création d’un ‘ministre de l’ICT’. Cet interlocuteur ICT central au sein du gouvernement n’existe donc plus aujourd’hui. A une époque, où l’utilisation de l’ICT pourrait fournir les indispensables gains d’efficience et réductions de coûts, ce n’est pas là le meilleur signal qui soit…

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