Utilisation du GSM au volant: recul du nombre d’infractions

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Au premier semestre de 2013, les services de police ont enregistré 48.121 effractions pour utilisation d’un GSM au volant. Par extrapolation sur une base annuelle, il s’agit de 96.242 effractions, ce qui est moins qu’en 2012 et qu’en 2011.

Au premier semestre de 2013, les services de police ont enregistré 48.121 effractions pour utilisation d’un GSM au volant. Par extrapolation sur une base annuelle, il s’agit de 96.242 effractions, ce qui est moins qu’en 2012 et qu’en 2011, lorsqu’on avait recensé respectivement 119.985 et 132.244 infractions. Voilà ce qui ressort de la réponse du secrétaire d’Etat Melchior Wathelet, en charge de la Mobilité, à une question écrite posée par Guido De Padt (Open Vld).

Le GSM surtout utilisé dans les voitures personnelles Les chiffres susmentionnés concernent les infractions pour toutes les catégories de véhicules. La plupart des infractions sont commises au volant des voitures personnelles: 78.267 en 2011, 69.754 en 2012 et 27.396 au cours des six premiers mois de 2013.

Les chauffeurs de camion utilisent parfois également leur GSM au volant. En 2011, 5.674 routiers ont ainsi été pris sur le fait contre 5.219 en 2012 et 2.240 au cours du premier semestre de cette année.

Amende, retrait du permis ou interdiction temporaire de conduire L’utilisation d’un GSM au volant constitue une infraction du deuxième degré et peut être sanctionnée d’une amende à perception immédiate de 110 euros. Le retrait immédiat du permis de conduire est aussi possible. Si le contrevenant est traîné en Justice, une amende de 120 à 1.500 euros peut lui être infligée. Le juge peut aussi prononcer une interdiction temporaire de conduire.

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