Quatorzième année consécutive de croissance du chiffre d’affaires pour Cegeka

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Pieterjan Van Leemputten

André Knaepen entre dans sa dernière année de CEO de Cegeka avec une bonne nouvelle. Son entreprise en est à présent à sa quatorzième année de croissance ininterrompue.

440 millions d’euros, tel est le montant du chiffre d’affaires enregistré par l’entreprise IT d’Hasselt durant l’exercice écoulé. Son bénéfice d’exploitation a été de 30,50 millions d’euros, en progression de 21 pour cent. Sa marge EBITA s’est établie à 9,9 pour cent, dont 5,8 pour cent (24 millions d’euros) de croissance organique.

Au niveau organisationnel, Cegeka a connu une année intéressante. Début 2017, l’entreprise avait annoncé vouloir vendre un cinquième de ses propres actions en vue d’un rachat d’envergure. Ce rachat n’a pas encore eu lieu, mais entre-temps, la société d’investissement GIMV y a fait son entrée, elle qui possède déjà 23,6 pour cent des actions.

Sur le plan de l’exploitation, son CEO, fondateur et actionnaire principal André Knaepen a fait savoir qu’il n’assumerait plus que le rôle de président à partir de 2019. Stijn Bijnens (actuellement CEO de LRM) prendra alors le relais. Fin de l’année dernière, Yin Oei a aussi été nommé responsable de Cegeka Belgique.

NSI, la filiale wallonne de Cegeka, a réalisé 52 millions d’euros de chiffre d’affaires l’année dernière. En comptant les rachats de Groupe OPEN et Pixelexir, son chiffre d’affaires atteint même 70 millions d’euros.

“2017 a de nouveau été synonyme d’une jolie croissance autonome et ce, pour la 14ème année consécutive. L’arrivée de Gimv va stimuler encore nos projets, mais nous gardons les pieds sur terre. Conjointement avec l’arrivée de Gimv, nous avons aussi procédé à une réorganisation durant le dernier trimestre de 2017 et avons fait des ‘business lines’ une force motrice pour l’entreprise”, a déclaré André Knaepen dans un communiqué.

“Nous avons agi ainsi pour deux raisons: nous tablons sur une croissance accélérée, et cela nous donnera l’opportunité d’harmoniser les propositions de valeur sur les différents pays. Il devrait en résulter un surcroît d’efficience, dont on observe aujourd’hui déjà les résultats positifs.”

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