Premiers recrutements pour le Département ICT de la Région wallonne

Suite à la dénonciation du contrat GIEI, le nouveau département ICT fusionné de la Région wallonne (re)structure ses effectifs.

Suite à la dénonciation du contrat GIEI, le nouveau département ICT fusionné de la Région wallonne (re)structure ses effectifs.

Sur fond de contrat GIEI dénoncé (arrivant à échéance en mars 2011 à l’issue du préavis de 3 ans), la nouvelle Direction Générale Transversale 2, née de la fusion des Ministères de la Région Wallonne (MRW) et de l’Equipement et des Transports (MET), a entamé la réorientation, pour ne pas dire la restructuration, du département informatique (DTIC) dont elle a hérité.

L’effectif, venu du MRW et du MET, se compose actuellement de 53 personnes. Pour reprendre en mains la maîtrise de l’informatique et mener à bien les missions qui seront assumées en interne (gestion de l’informatique, conception et architecture, définition des cahiers de charges, gestion des achats…), il a été estimé que la DTIC aurait besoin de 64 équivalents temps plein.

Une analyse ressources/besoins a été entamée dont il ressort (provisoirement?) qu’une trentaine de personnes sur les 53 ont un profil adéquat et sont “directement opérationnelles”. “La majorité des 53 personnes ont un profil d’informaticiens”, commente Denis Sibille, chef de cabinet adjoint du Ministre-Président de la Région wallonne. “Mais les futures tâches de la DTIC impliquent qu’elle a également besoin, entre autres, de juristes, de chefs de projets- notamment pour piloter la mise en concurrence des prestataires qui feront offre sur les lots externalisés et, ensuite, pour gérer ces sociétés.”

Une première opération de recrutement vient donc d’être lancée. Elle concerne 9 chefs de projet, qualifiés d'”experts en transition”, autrement dit qui seront chargés de préparer et de mettre en oeuvre la nouvelle politique wallonne en matière d’informatique administrative. Ils seront notamment chargés de piloter les projets, participeront à la définition des besoins fonctionnels, à la rédaction des spécifications des besoins, à la formalisation des indicateurs de performances, à l’évaluation des risques dans la conduite des projets, à la coordination des prestataires internes et externes…

Si une trentaine de personnes sur 53 sont déclarées “aptes pour le service”, le sort des quelque 23 autres n’a pas encore été déterminé. Leur affectation doit encore être précisée. Sans compter qu’il y aura sans doute des départs et des profils difficilement ‘optimisables’ via formation.

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