Nouvelles rumeurs de rachat de Capgemini

Capgemini semble beaucoup tenter les sociétés indiennes d’externalisation. Après Infosys Technologies, c’est à Wipro que l’on prête aujourd’hui l’intention de mettre la main sur son rival européen. La spéculation nous vient d’Inde où les principaux quotidiens économiques évoquent la possibilité d’une offre à 48 euros, voire à 60 euros l’action, soit un coût total de reprise flirtant au minimum avec les 7 milliards d’euros. L’offre pourrait être officiellement lancée dans le courant du mois de janvier.

Capgemini semble beaucoup tenter les sociétés indiennes d’externalisation. Après Infosys Technologies, c’est à Wipro que l’on prête aujourd’hui l’intention de mettre la main sur son rival européen. La spéculation nous vient d’Inde où les principaux quotidiens économiques évoquent la possibilité d’une offre à 48 euros, voire à 60 euros l’action, soit un coût total de reprise flirtant au minimum avec les 7 milliards d’euros. L’offre pourrait être officiellement lancée dans le courant du mois de janvier.

Capgemini réfute le bien-fondé d’une telle spéculation. Quant à Wipro, elle se refuse à confirmer ou infirmer la rumeur, se contentant de parler de “recherche active d’options de croissance externe”.

En soi, ces rumeurs ne font en fait que confirmer le chassé-croisé stratégique auquel se livrent les acteurs occidentaux et indiens de l’outsourcing. Chacun s’implante sur le terrain de l’autre, de plus en plus souvent via acquisition d’un acteur. Jusqu’à présent, les occidentaux avaient été les plus actifs, en prenant le contrôle d’acteurs de 2ème ou 3ème rang. Exemples: mPhasis, racheté par EDS, ou Covansys, repris par CSC. Capgemini, lui, a racheté Kanbay et Indigo.

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