Logica entend attirer 700 informaticiens au Benelux par le truchement d’une grande campagne de recrutement et ce, en vue de répondre à la demande toujours plus forte des clients. L’an dernier, Logica avait encore supprimé mille postes d’emploi. Fin mai, l’entreprise comptait 5.000 collaborateurs, auxquels il conviendrait d’ajouter encore quelques centaines de personnes à temps plein. “La machine à recruter est fortement sous pression”, ajoute le président de son conseil d’administration.
Logica entend attirer 700 informaticiens au Benelux par le truchement d’une grande campagne de recrutement et ce, en vue de répondre à la demande toujours plus forte des clients. L’an dernier, Logica avait encore supprimé mille postes d’emploi.
Logica éprouve des difficultés à répondre à la demande croissance de ses clients, déclare Wilbert Kieboom, le président de son conseil d’administration, dans le journal néerlandais Het Financieele Dagblad. Fin mai, l’entreprise comptait 5.000 collaborateurs, auxquels il conviendrait d’ajouter encore quelques centaines de personnes à temps plein. “La machine à recruter est fortement sous pression”, ajoute Kieboom.
Ces engagements ont de quoi étonner, puisqu’en avril 2008, Logica avait annoncé la perte de 1.300 postes de travail dans le cadre d’une vaste phase d’assainissement. L’an dernier, mille personnes avaient quitté l’entreprise. Il y eut des pertes d’emploi en Belgique également.
Wilbert Kieboom envisage des opportunités surtout dans le secteur financier avec la fusion de Fortis Bank Nederland et d’ABN Amro. Suite à la scission d’ING en une banque et un assureur, Logica entend aussi prendre sa part du gâteau. Il en va par ailleurs de même au niveau du rachat de la partie belge de Fortis par BNP Paribas. Selon Kieboom, cela fournira aussi pas mal de travail IT à des tiers.
