Les projets wi-fi reportés d’un arrêt

De Lijn © .
Pieterjan Van Leemputten

Voici un an, De Lijn annonçait le déploiement du wi-fi dans ses premiers bus. Qu’en est-il un an plus tard ?

Désormais, 35 bus circulent à Louvain, Turnhout, Hasselt et Genk, tandis que Malines, Alost et le tram de la côte autorisent le surf gratuit. Le projet s’inscrit dans une initiative similaire couvrant 90 trams à Anvers et Gand. Le ministre de la mobilité Ben Weyts y voyait une “vision politique fondamentale”. Les utilisateurs peuvent utiliser gratuitement jusqu’à 250 Mo par mois.

“Globalement, nous sommes très satisfaits de l’intérêt des voyageurs pour le wi-fi gratuit. Le feedback via les médias sociaux et le formulaire de contact sur lijnnet.benous a aidé à établir un plan précis pour 2016″, explique Tom Van De Vreken, porte-parole. A fin octobre, la société flamande de transports publics avait enregistré 61 710 visiteurs uniques, soit 435 536 sessions. Aujourd’hui, un total de 210 véhicules de De Lijn sont dotés du wi-fi. Et d’ici décembre, ce nombre sera porté à 250.

Dans le futur, l’offre sera adaptée à l’endroit où se trouve le voyageur. Dans le même temps, la couverture sera renforcée dans certaines villes, tandis que de nouvelles villes seront ajoutées.

“Après un an d’activité, nous constatons que tous les bus et les trams n’ont pas la même portée en termes de pourcentages. Cette différence peut être attribuée en partie à la capacité du véhicule. Ainsi, il est logique que le wi-fi sur une ligne ayant plus de places soit davantage utilisé que dans un petit bus urbain. Nous allons dès lors nous concentrer sur le temps moyen qu’un voyageur passe dans un bus. Le réseau 4G de notre partenaire Mobistar est de qualité suffisante en Flandre pour intégrer également les lignes régionales dans notre offre wi-fi.”

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