Le ‘dipping’, la toute nouvelle vogue internet

Les propriétaires de piscines en Grande-Bretagne feraient mieux d’être sur leurs gardes. La toute nouvelle manie internet qui fait fureur parmi les jeunes Britanniques, c’est de recenser les piscines via Google Earth et de se donner rendez-vous via Facebook pour une petite baignade nocturne.

Les propriétaires de piscines en Grande-Bretagne feraient mieux d’être sur leurs gardes. La toute nouvelle manie internet qui fait fureur parmi les jeunes Britanniques, c’est de recenser les piscines via Google Earth et de se donner rendez-vous via Facebook pour une petite baignade nocturne.

‘Dipping’, cela s’appelle en jargon, ce qu’on pourrait qualifier littéralement d’abus du phénomène de réseautique. Via les images satellites proposées gratuitement par Google Earth, les jeunes repèrent les maisons possédant de belles et grandes piscines extérieures. Une fois la ‘cible’ localisée, ses coordonnées sont transmises via les réseaux sociaux comme Facebook et Bebo. La dernière étape consiste à fixer une heure à laquelle les jeunes se retrouveront, la nuit, pour piquer une tête. Il arrive que certains propriétaires soient réveillés au beau milieu de la nuit à cause du bruit produit par les jeunes nageurs, tandis que d’autres découvrent, le matin, leur piscine, dont le surface est remplie de cannettes de bière en train de flotter.

La police britannique invite les propriétaires de piscines à être particulièrement attentifs et met du même coup les jeunes en garde du fait qu’ils enfreignent la loi en allant nager sans autorisation dans la piscine d’autrui. Par ailleurs et toujours selon la police, ces jeunes ‘dippent’ souvent “en vêtements voyants”, ce qui ne convient pas aux réseaux sociaux.

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