Le combat pour le parc Flanders Language Valley

Deux entreprises technologiques de Flandre occidentale, Punch et Transics, ont lancé chacune une offre sur l’ancien parc Flanders Language Valley de L&H à Ypres. Punch déclare avoir fait l’offre la plus haute, mais Transics a déposé une plainte à propos de la procédure suivie.

Deux entreprises technologiques de Flandre occidentale, Punch et Transics, ont lancé chacune une offre sur l’ancien parc Flanders Language Valley de L&H à Ypres. Punch déclare avoir fait l’offre la plus haute, mais Transics a déposé une plainte à propos de la procédure suivie.

Voilà ce qu’on peut lire dans le journal De Standaard. Punch International a annoncé, hier, par voie de communiqué de presse qu’elle allait acquérir très probablement le parc d’activités yprois Flanders Language Valley (FLV) grâce à une offre de 6,66 millions d’euros. Elle obtiendrait ainsi tout le terrain, l’Auris Center installé en son centre et l’ensemble des 18 modules du parc de la West-Vlaamse Intercommunale WVI. Punch entend y regrouper ses activités internationales.

Le tribunal du commerce doit encore approuver l’offre. Reste à savoir si tel sera bien le cas car l’autre partie intéressée, Transics, a introduit une plainte à propos de la procédure suivie. A l’origine, Transics voulait acheter 3 modules, mais elle préparait aussi une offre sur l’ensemble du parc FLV. Selon Walter Mastelinck, CEO, son entreprise n’a cependant pas bénéficié d’une chance réelle car elle ignorait qu’il y avait une date butoir cruciale dans le dossier. Elle n’en a été informée que juste avant l’expiration du délai imparti, ce qui ne lui a pas donné le temps de présenter une offre correcte. Transics cherche à s’étendre à Ypres et ne verrait pas d’un bon oeil d’être un locataire de son ‘rival’ Punch.

Vous avez repéré une erreur ou disposez de plus d’infos? Signalez-le ici

Contenu partenaire