La police de Gand et d’Anvers étudient la plus-value des smartphones

Les corps de police de Gand et d’Anvers souhaitent examiner avec leur partenaire ICT Digipolis et la police fédérale la plus-value que pourrait représenter l’utilisation de smartphones pour les recherches locales ou le travail de quartier.

Les corps de police de Gand et d’Anvers souhaitent examiner avec leur partenaire ICT Digipolis et la police fédérale la plus-value que pourrait représenter l’utilisation de smartphones pour les recherches locales ou le travail de quartier.

Voilà ce qu’a répondu le chef de corps gantois Filip Rasschaert à une question posée par Helga Stevens (N-VA) dans le cadre de la commission des affaires générales de la ville de Gand. La zone de police de Gand possède actuellement 25 smartphones, mais qui ne sont utilisés que par la direction du corps, le service communication et le service ICT. A Gand, l’on souhaite accroître ce nombre pour le porter à soixante et examiner, lors d’un projet pilote, si cela pourrait représenter une plus-value pour les recherches locales ou le travail de quartier.

“Mais il s’agit avant tout de trouver un système sûr et fiable de consulter une banque de données opérationnelle avec ces smartphones”, ajoute Rasschaert. “Le but du projet est que, dans le cadre d’une lutte plus efficace contre les délits, les agents de police puissent disposer sur le terrain des mêmes informations que leurs collègues au commissariat.”

Source: Belga

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