La Belgique s’intéresse aux informaticiens portugais

L’agence portugaise pour l’emploi a sélectionné cinq pays, dont la Belgique, susceptibles d’offrir à des employeurs l’opportunité de recruter des ingénieurs et informaticiens portugais sans emploi. Le mois prochain, un vaste salon de l’emploi sera organisé à cette fin à Lisbonne. Voilà ce qu’on peut lire dans le journal De Morgen. “Le marche du travail portugais est en grandes difficultés au niveau structurel”, déclare Gert De Buck du VDAB, qui aide à mettre en oeuvre ce salon de l’emploi au nom de notre pays. “Le taux de chômage y atteint actuellement quelque 17 pour cent. Et chez les jeunes, il est même de 35 pour cent.”

L’agence portugaise pour l’emploi a sélectionné cinq pays, dont la Belgique, susceptibles d’offrir à des employeurs l’opportunité de recruter des ingénieurs et informaticiens portugais sans emploi. Le mois prochain, un vaste salon de l’emploi sera organisé à cette fin à Lisbonne.

Voilà ce qu’on peut lire dans le journal De Morgen. “Le marche du travail portugais est en grandes difficultés au niveau structurel”, déclare Gert De Buck du VDAB, qui aide à mettre en oeuvre ce salon de l’emploi au nom de notre pays. “Le taux de chômage y atteint actuellement quelque 17 pour cent. Et chez les jeunes, il est même de 35 pour cent.”

Nombre d’ingénieurs et d’autres spécialistes de la connaissance néo-diplômés, tels des informaticiens sont pour l’instant sans emploi au Portugal, et les chances d’en trouver un sont quasiment nulles. Voilà pourquoi l’agence portugaise pour l’emploi a décidé de sélectionner cinq pays souffrant d’un manque de ce genre de profils. Outre la Belgique, l’on trouve la Grande-Bretagne, la Suède, la Norvège et le Danemark.

Quelques dizaines d’entreprises de notre pays se sont déjà inscrites pour participer au salon. Selon De Buck, c’est la première fois qu’un salon de l’emploi aussi orienté est organisé. “Si le salon est un succès, il sera répété”, ajoute De Buck. Et de penser à la Grèce et à l’Espagne pour des professions manquantes chez nous dans le secteur des soins.

Source: Belga

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