Facebook piège des pique-assiettes

Manger copieusement à cinq, puis s’en aller sans payer? C’était sans compter avec Facebook!

Manger copieusement à cinq, puis s’en aller sans payer? C’était sans compter avec Facebook!

Peter Leary, propriétaire du restaurant Seagrass à Melbourne (Australie), a failli s’étrangler, lorsque les cinq convives en question ne sont pas rentrés dans la salle de son établissement après avoir été fumer une cigarette à l’extérieur. C’est que les pique-assiettes s’étaient régalés avec un menu haut de gamme incluant des huitres et des spécialités coûteuses, le tout arrosé des plus grands vins.

C’est alors que Leary eut une idée géniale. Il s’est subitement souvenu qu’une des cinq personnes lui avait posé des questions à propos d’une ex-collaboratrice. A l’agence de presse Reuters, Leary expliqua qu’il appela aussitôt cette femme au téléphone, et celle-ci lui suggéra de consulter sa liste des contacts sur Facebook. Aussitôt dit aussitôt fait et – hip-hip-hip hourra! – il y repéra bien vite le visage d’un des convives indélicats avec à la clé une référence au dîner en question.

Il s’avéra en outre que l’homme travaillait dans un restaurant proche, dont Leary appela le patron. Peu après, le quintet réapparut pour s’acquitter de la note, tout en y ajoutant un solide pourboire. Voilà donc les pique-assiettes prévenus: les sites de réseautique veillent au grain…

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