Et si l’on abordait les tabous de l’échec…

Frederik Tibau est rédacteur chez Data News.

Le 6 novembre prochain, Flanders DC et l’IBBT, en collaboration avec Bryo, organiseront le projet starter de la Voka, la Fail Conference. Lors de cet événement, 20 entrepreneurs tant nationaux qu’étrangers expliqueront comment ils ont réagi face à des projets ‘ratés’.

Le 6 novembre prochain, Flanders DC et l’IBBT, en collaboration avec Bryo, organiseront le projet starter de la Voka, la Fail Conference. Lors de cet événement, 20 entrepreneurs tant nationaux qu’étrangers expliqueront comment ils ont réagi face à des projets ‘ratés’.

L’on établit souvent une comparaison entre les cultures d’entreprise américaine et européenne. A Silicon Valley, l’échec est considéré comme la conséquence d’une prise de risque. En Belgique, l’arrêt d’une entreprise est encore souvent ressenti comme une humiliation, alors qu’une faillite représente généralement la fin d’une carrière prometteuse.

Lors de la Fail Conference, le thème suivant sera abordé: l’échec n’est pas grave en soi, pour autant que l’on n’ait rien à se reprocher et qu’on en tire des leçons. Du manque de moyens financiers jusqu’au recours à une technologie erronée ou à une mauvaise composition d’équipe: les raisons ne manquent pas pour que des entreprises arrêtent.

Au cours de la Fail Conference du 6 novembre prochain, une vingtaine d’entrepreneurs belges et étrangers présenteront leur histoire personnelle dans le cadre de l’ICC à Gand. Frank Bekkers (Mobile Vikings) et Jan Verheyen notamment répondront présents. La conférence s’adresse à un large public de candidats entrepreneurs et de décideurs.

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