Clearwire: l’échelle nationale ou ‘plus locale’?

‘Clearwire va devenir nationale’, titre le journal De Tijd. Mais Carl Alloin, directeur de Clearwire Belgique, s’en tient de son côté à: “Nous n’allons pas en rester à l’échelle locale…”

‘Clearwire va devenir nationale’, titre le journal De Tijd. Mais Carl Alloin, directeur de Clearwire Belgique, s’en tient de son côté à: “Nous n’allons pas en rester à l’échelle locale…”

La différence est subtile, même si la nuance utilisé par Alloin est surtout dictée par la prudence qu’il se doit d’afficher en sa qualité de ‘country manager’ d’une entreprise cotée en Bourse.

“Notre but est certes de croître en Belgique dans les mois et années à venir”, réagit Alloin à la vue du titre du journal: “Voyez notre gamme ‘mobile internet’: il n’y a aucune raison de ne la déployer qu’à Bruxelles. Mais quant à en faire une ‘couverture nationale’, il y a encore de la marge.”

Il confirme néanmoins que Clearwire dispose actuellement de 145 antennes opérationnelles, mais a déposé auprès de l’IBPT des demandes pour pas moins de 358 sites supplémentaires.

Avec sa technologie pré-Wimax, Clearwire est actuellement active à Bruxelles, Louvain, Gand et Alost. L’entreprise est encore en train de tester la ‘véritable’ Wimax encore relativement prématurée. Alloin n’a pas non plus souhaité donné de date de passage à cette technologie.

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