Applications: une simplification s’impose

Marc Husquinet Rédacteur de Data News

Selon le “2014 Application Landscape Report” de Capgemini, il n’est désormais plus question de savoir “si” une rationalisation du parc applicatif s’impose, mais plutôt “quand” et “comment”.

Selon le “2014 Application Landscape Report” de Capgemini, il n’est désormais plus question de savoir “si” une rationalisation du parc applicatif s’impose, mais plutôt “quand” et “comment”.

En effet, 48 % des CIO estiment que le nombre d’applications utilisées dans leur organisation est plus élevé que nécessaire (ils sont même 54 % dans le secteur financier à avoir cet avis). La même enquête en 2011 indiquait que 52 % des CIO estimaient que le nombre d’applications exploitées était tout à fait approprié, alors qu’ils ne sont plus que 37 % de cet avis. Et toujours en 2011, ils étaient 34 % à penser qu’il y avait plus d’applications que nécessaire dans l’organisation. En outre, 28 % des CIO estiment que 21 à 35 % des applications d’entreprise se chevauchent, 22 % pensent que 36 à 50 % des applications couvrent des domaines similaires e t 5 % des CIO affirment que plus de 80 % de leurs applications se recoupent.

Malgré tout, les entreprises éprouvent des difficultés à rationaliser leur parc applicatif puisque 29 % des applications ont entre 4 et 7 ans et que ces applications absorbent 41 % du coût applicatif. A noter que 36 % des entreprises évoquent le remplacement et 36 % l’amélioration des applications comme solution, tandis que 28 % misent sur la consolidation et 27 % sur la migration.

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