1 avril: un florilège de poissons ICT

Les poissons d’avril n’ont pas manque sur internet, y compris dans le secteur ICT. En voici un aperçu.

Les poissons d’avril n’ont pas manque sur internet, y compris dans le secteur ICT. En voici un aperçu.

A tout seigneur tout honneur, sur ce site, [vous avez pu lire] que les enchères de la quatrième licence mobile allaient être scindées pour des questions communautaires en des enchères régionales.

Mais nous n’avons pas été les seuls à mettre à profit notre site pour vous proposer des histoires à dormir debout. C’est ainsi que Fedict a envoyé à ses collaborateurs des fausses saisies d’écran (vraiment très ressemblantes) de datanews.be reprenant un article indiquant que Fedict allait entièrement migrer vers l’open source, que des ouvertures allaient être pratiquées dans le centre de données de Fedict pour assurer une meilleure ventilation et qu’une eID serait lancée, intégrant une puce susceptible d’être imprimée par la carte. “De ce fait, l’eID ne peut plus être utilisée pour des applications électroniques, et le respect de la vie privée est garanti de manière optimale”, peut-on y lire.

Nos collègues de ZDnet.be ont choisi, eux, un poisson d’avril étranger avec [l’information] selon laquelle le MIT avait rendu la téléportation possible. La luxembourgeoise ITnation.lu a de son côté informé ses lecteurs que [chaque Luxembourgeois recevra un iPad] en vertu d’un accord bilatéral avec les Etats-Unis.

Sur Webwereld.nl aux Pays-Bas, on a créé un [‘site web sympa pour la Chine’] accompagné de titres sarcastiques tels que “Censuré, l’internet fonctionne plus vite” ou “Des pirates américains à l’origine des cyber-attaques”. Le “petit livre rouge” figure en bonne place de la plupart des articles postés. Toujours aux Pays-Bas, le fournisseur internet Xs4all a lancé ce qu’il appelle une [iPhone-app] permettant d’identifier ses clients en rue. A cette fin, il devra cependant rendre publiques les données privées de ceux-ci.

Google [a annoncé] enfin qu’elle allait changer son appellation en Topeka en l’honneur de la ville américaine du Kansas [qui avait elle-même changé son nom en Google]. L’entreprise indique aussi que le verbe ‘to google’ doit devenir désormais ‘to topeka’…

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